La Restauration du Rite Gallican




Nous dédions cette restauration de la Divine Liturgie Gallicane Antique au Souverain Pontife de l’Église de Rome-Ruthénie : Sa Sainteté Rutherford Ier, ainsi qu'à sa Très Excellente Révérence Monseigneur Alejandro Paulo Primat de Lyon en Exil, siège Primatial de Lyon dont nous avons restauré la Sainte Liturgie, et à Son Altesse Royale Le Prince Ruben Alberto de la Maison Royale Mérovingienne. Nous les remercions pour leurs soutiens spirituels et moraux dans cette œuvre de restauration de l’Antique Liturgie de Notre Église Catholique de Rite Gallican, et nous la dédions à la mémoire de Son Excellence Feu Monseigneur Roger Caro Patriarche de l’Église Gallicane de Provence, qui avait redécouvert la Messe de Clovis. Sans cette découverte, nous n’aurions pas pu restaurer l’Antique Liturgie Gallicane. Avec le soutien bienveillant et l’accord du Prince et l’imprimatur de ma juridiction épiscopale, cette Antique Liturgie Gallicane est la Divine Liturgie de Notre Église pour les Grandes Solennités, tandis que le Rite Ordinaire demeure le Rite Gallican autorisé par Sa Sainteté Le Pape de Rome-Ruthénie Rutherford Ier. Que Dieu bénisse le peuple Franc! Vive le Christ Roi des Francs!

Après des années de recherches, de travail et de consultations d’archives, nous, Monseigneur Hugo-Marie Franco, Évêque délégué pour la France de l’Église Catholique de Rite Gallican en Unité avec l'Église Unie de Rome-Ruthénie, avons restauré cette Antique Liturgie de l’Église des Gaules, véritable réconciliation entre la Divine Liturgie Orthodoxe et la Sainte Messe Catholique et entre l’Orient Orthdodoxe et l’Occident Catholique, les deux poumons de la Chrétienté et véritable ré-affirmation de l’Orthodoxie Latine d’Occident : la Tradition Gallicane, la langue de notre liturgie est le latin car le latin est une langue sacrée, une langue différente de la langue de tous les jours, réservée à Dieu, qui manifeste la transcendance de la liturgie. Le latin de la messe exprime la verticalité, émanant du culte divin adressé à la Sainte Trinité : les prières ne sont pas adressées aux hommes mais à Dieu...et la Sainte Liturgie Gallicane des origines était célébré en latin et non en langue vulgaire, il nous faut donc rester fidèles à la langue universelle de l’Eglise des Gaules : le Latin, langue magnifiant le Mystère, langue des Anges. Le Gallicanisme ne fait pas d’inventions ou d’innovations il s’enracine dans la plus antique Tradition.

Nous la dédions également notre restauration de la Liturgie Gallicane Antique à Feu Monseigneur Bossuet, qui avait demandé aux Monastères de France d'enquêter sur l’Antique Rite des Gaules pour sa restauration, et à la mémoire du Moine Hilduin et son disciple Bienheureux Hincmar., qui ont maintenu le Rite Gallican. Nous rendons également hommage à Mgr Louis Marie Giraud restaurateur du Rite Gazinet et à Mgr Eugraph Kovalevsky restaurateur de la Liturgie de Saint Germain de Paris. La Divine Liturgie Gallicane restaurée, est celle du temps de notre Roy Très Chrétien Clovis, et celle du Siège Primatial de l’Église des Gaules de Lyon. Les origines de la Divine Liturgie Gallicane remontent à plusieurs sources liturgiques antiques : - De la liturgie d’origine Alexandrine de Saint Denys de Paris (Saint Denys l’Aréopagite) - De Saint Joseph d’Arimathie et des Saintes Maries de la Mer - De la Didaché des Apôtres - À l’Anaphore de Saint Hippolyte de Rome (Disciple de Saint Irénée de Lyon) - De la liturgie de Saint Irénée de Lyon - De la liturgie de Saint Germain de Paris, de Saint Géry, de Saint Jean Cassien et de Saint Césaire d’Arles, de Saint Patrick d’Irlande, et de Saint Martin de Tours, de Saint Rémy de Reims - De Saint Grégoire le Grand C’est de la réunion harmonieuse de ces antiques sources liturgiques qu’est née la Sainte Liturgie Gallicane Antique. Le contexte civilisationnel dans lequel cette Sainte Liturgie des Gaules a vu le jour est celui de l’Occident antique, dont le territoire actuel est celui des Gaules, regroupant la France, la Bretagne, la Provence, l’Italie, l’Allemagne, l’Espagne, la Suisse, la Belgique, et le vieux monde celtique.

Mgr. Rodrigues, Archevêque de Lyon, Primat du Rite Gallican

Ce vieux monde celtique de l’Occident Antique, de la vieille civilisation des Gaules, parlait la même langue gauloise et avait un trilinguisme en gaulois (celtique), latin et grec. De cette unité de civilisation, est née, grâce au miracle de l'avènement de la Bonne Nouvelle de l’Évangile apporté par les Saints Apôtres et leurs disciples, une unité liturgique. Ce vieux monde des Gaules avait un rite, les unissant dans l’antique Liturgie Gallicane, qui avait des variantes locales (Rite Gallican, Rite Mozarabe, Rite Ambrosien, Rite Celtique, etc.), car les Gaules ont toujours refusé le centralisme uniformisateur émanant du monde romain. Cette réalité du contexte spirituel et traditionnel de la civilisation des Gaules, transfigurée par la Révélation de Notre Seigneur Jésus-Christ, qui s’étendait jusqu’en Orient via le monde grec et Alexandrin ainsi que la Galatie et la Galilée, est parfaitement décrite par Saint Irénée de Lyon : « Car, si les langues diffèrent à travers le monde, le contenu de la Tradition est un et identique. Et ni les églises établies en Germanie n’ont d’autres foi ou d’autres Traditions, ni celles qui sont chez les Ibères, ni celles qui sont chez les Celtes, ni celles de l’Orient, de l’Égypte, de la Libye, ni celles qui sont établies au centre du monde ; mais [...] cette lumière qui est la prédication de la vérité brille partout et illumine tous les hommes [...] » Saint Irénée de Lyon fut le structurateur du Rite Gallican Antique. Il ira jusqu'à Rome pour défendre la Tradition Gallicane Liturgique face au Pape Victor, qui voulait déjà tenter de romaniser la Sainte Liturgie et la Chrétienté. Saint Irénée réussit à raisonner Le Pape Victor, qui cessa son entreprise de romanisation et permit le maintien des Traditions Liturgiques et particularités Gallicanes. Lyon Antique, Siège Primatial de l’Église des Gaules, fut le berceau de la Liturgie Antique Gallicane. Cette piste, malheureusement souvent négligée, a conduit les chercheurs à chercher l’origine du Rite Gallican dans le Rite Ambrosien de Milan, le Rite Mozarabe de Tolède, ou la Liturgie Byzantine. Il est vrai qu’il y a des points communs entre ces Rites et le Rite Gallican Antique, et que le Rite Ambrosien, comme le Mozarabe, appartient à la famille des Rites Gallicans. Mais en réalité, le Rite Gallican Antique est issu du Siège Primatial de Lyon et la survivance actuelle de cet ancien rite n’est autre que le Rite Lyonnais, seul Rite Gallican parvenu jusqu'à nos jours, ayant survécu à la romanisation du Rite des Gaules entreprise par l’alliance des Carolingiens et des Pontifes Romains.

Mgr Hugo-Marie, Primat de France pour le Rite Gallican

Le Saint Pape Pie XI envoyat des Orthodoxes grecs à Lyon pour constater le maintien de l’antique Rite des Gaules de Lyon et son faste et sa gloire en l’honneur du Christ. Le Père Luigi Marchesi, dans son ouvrage La liturgie gallicane dans les huit premiers siècles de l'Église : observations historiques et critiques publiées à l'occasion du retour de l'Église de Lyon à son antique liturgie, partage notre opinion sur le fait que le Rite Lyonnais est l’origine du Rite Gallican Antique et sa survie. Dans cet extrait de son livre : "Au reste, dans l'absence presque totale de documents historiques concernant en particulier la Liturgie de la très-insigne Église de Lyon avant le VIIIe siècle, il serait à peu près impossible de faire un examen direct et raisonné de cette Liturgie considérée isolément. Mais, quoi qu'il en soit de l'origine primitive et de la nature spéciale des rites lyonnais, il est tout naturel de supposer qu'ils avaient d'étroites relations avec ceux des autres Églises de France. En effet, dirons-nous avec Mgr de Conny, 'prétendre que, dans les premiers temps du christianisme, l'Église de Lyon ait eu, au milieu des Églises qui suivaient l'ancien Gallican, un rite séparé et d'une ordonnance tout à fait différente, c'est non-seulement mettre en avant une assertion complètement gratuite, mais contredire tous les témoignages historiques. Car, ainsi que nous l'avons fait observer, il est partout parlé de l'ancien rite gallican, comme du rite universel des Gaules. Cette Liturgie (gallicane) a pu admettre certaines particularités de détail dans les différentes métropoles ; mais, pour le fond, elle était la même partout. On honore pieusement à Lyon saint Irénée comme l'instituteur des rites qui se pratiquaient dans cette Église sans que rien indique cependant en quoi ils auraient différé de ceux des autres Églises des Gaules.'" Un autre élément démontrant l'origine lyonnaise du Rite Gallican Antique est l'étude faite par le chercheur Daniel Robin dans son ouvrage "Lyon et la Fin des Temps". Robin évoque un très ancien manuscrit gréco-alexandrin, le Codex Bezae, qui serait à l'origine du Rite Lyonnais. Selon ses recherches, le Codex Bezae aurait été l'un des documents retrouvés par l'Abbé Saunière dans le pilier Wisigoth de l'Église de Rennes-le-Château lors de sa restauration. Ce manuscrit antique, bilingue en grec et latin, est un évangéliaire contenant les évangiles synoptiques authentiques, les épîtres de Saint Jean et les Actes des Apôtres. Copié et cité par Saint Irénée de Lyon, il est considéré comme l'original de la version des Saintes Écritures utilisée lors de la Divine Liturgie Gallicane Primitive.


L'érudit F. H. A. Scrivener attribue également l'origine gauloise du Codex Bezae, le situant dans le Sud de la Gaule, correspondant ainsi à Lyon. Ce manuscrit aurait été apporté en Gaule par Saint Irénée au IIe siècle, débarquant à Lyon vers 170 après avoir été disciple de Saint Polycarpe de Smyrne, lui-même disciple de Saint Jean l'Évangéliste. Il aurait ensuite été conservé précieusement dans le monastère Saint-Irénée de Lyon jusqu'au IXe siècle, où il aurait été restauré dans l'atelier de Florus à Lyon. Cependant, en 1562, lors du sac de la ville par les calvinistes, il aurait été préservé de la destruction par Théodore de Bèze, qui l'aurait transféré à l'université anglicane de Cambridge en 1581 pour le protéger. La découverte du Codex Bezae dans le pilier de l'Église Sainte Marie Madeleine de Rennes-le-Château par l'Abbé Saunière lors de la restauration de l'église est une piste intrigante soulevée par le chercheur Daniel Robin qui considère que le Codex Bezae serait l’origine du Rite Lyonnais. Cette découverte nous amène à envisager l'hypothèse suivante : et si l'Abbé Saunière avait retrouvé le Rite Gallican Antique dans le pilier Wisigoth ? Cette possibilité est tout à fait plausible, car Lyon fut une colonie wisigothique, comme le confirme l'ouvrage "L'Europe héritière de l'Espagne wisigothique". L'origine wisigothique de Lyon a également été établie par le chercheur Jean-Claude Allamanche, qui a découvert l'existence d'une ancienne Église wisigothique autocéphale à Lyon ainsi que de nombreux monuments wisigoths dans la région lyonnaise. Il est intéressant de noter que l'aigle de Saint Jean, symbole de Lyon, est également l'aigle wisigoth, symbole de l'Évangéliste dont l'évangile original fait partie intégrante du Codex Bezae. Les Wisigoths ont également fourni des évêques à la cité de Lyon, dont Leidrade de Lyon et le célèbre Saint Agobard de Lyon.

Le Patriarche Roger Caro, ayant redécouvert la Messe Gallicane Antique, a, quant à lui, remarqué certains éléments significatifs concernant la Liturgie Antique Gallicane. En effet, les recherches de Monseigneur Roger Caro ont montré que la Divine Liturgie Gallicane Antique remonte au temps de Clovis et aux Wisigoths. Il existe un ouvrage du XIXe siècle, retrouvé par Monseigneur Roger Caro, qui s’intitule La Messe ancienne comme elle estoit célébrée au temps de Clovis. Cet ouvrage a permis de redécouvrir certains éléments de la Messe de Clovis, notamment la structure du Kyriale (Kyrie, Gloria, Sanctus….). Cet ouvrage, accompagné d'un autre intitulé L'ancienne liturgie gallicane écrit par le Père Thibaut, nous offre une vision plus complète de la liturgie antique. Le Père Thibaut indique que Saint Jean Cassien et Saint Césaire d’Arles sont les principaux transmetteurs de cette Liturgie ainsi que les Lettres de Saint Germain de Paris, le Père Thibaut reconnaît aussi que de l'anaphore de Saint Hippolyte de Rome, qui lui-même était un disciple de Saint Irénée de Lyon est une des origines les plus anciennes avec la Didaché des Apôtres de la Liturgie Gallicane Antique. Feu Mgr Caro disait avec sagesse dans la même circulaire, que les Liturgies Néo-Gallicanes du 20eme siècle, du 19eme siècle, du 18ème siècle, et du 17eme siècle n’étaient pas la Liturgie Gallicane Antique telle qu’il l’avait redécouverte dans ce livre sur la Messe du Temps de Clovis, qui était selon lui celle des Wisigoths, d'où le lien que nous faisons avec la Liturgie Lyonnaise et son origine potentiellement Wisigothique,puisque les Wisigoths avaient été intégrés au Royaume Mérovingien de Clovis après leurs victoire sur eux, une scène de l’iconographie religieuse Occitane montre Saint Exupère baptisant les Wisigoths avec un goupillon signifiant leurs retour dans le Royaume Francs Catholique Gallican, et leurs abandons de l’hérésie d’Arius, la Tradition nous dit que les Wisigoths avaient commis le péché du Roi David mais ont aussi eut la grâce de faire pénitence comme lui et de revenir à la vérité de Dieu. L’Antique Liturgie Gallicane est un témoignage vivant de l’unité spirituelle et civilisationnelle des Gaules antiques. Les liturgies gallicanes, comme celle de Saint Hippolyte de Rome, ont des particularités qui les distinguent des autres rites, par exemple l'Épiclèse qui est une invocation du Saint Esprit sur les Saints Dons après la Consécration. Cette pratique, d’origine apostolique, fut maintenue par les Pères de l’Église des Gaules et les Conciles Gallo-Romains. Les prières spécifiques à cette Épiclèse, démontrent la richesse théologique et symbolique de la Liturgie Gallicane, Liturgie dont la plus version la plus ancienne influencé par Alexandrie et son Alchimie, auraient été apportée par les Saintes Marie de la Mer en Gaule et aurait survécue dans le Diocèse de Rennes sous le nom de Liturgie des Trois Maries. Les recherches ont également montré que des éléments symboliques d’origine alchimique se retrouvent dans cette liturgie, notamment à travers les œuvres de Saint Jean Cassien et Saint Césaire d’Arles. En effet, des prières spécifiques et des rituels associés à la purification, à la transmutation spirituelle, et à l'illumination divine sont des éléments marquants de la Liturgie Gallicane Antique.


En 1969, Sa Sainteté le Pape Paul VI a restauré le Rite Gallican de Saint Hippolyte de Rome en l'introduisant dans la Liturgie Romaine sous la forme de la Prière Eucharistique II. Cette réforme liturgique, bien que controversée en raison des influences protestantes qui se sont emparées par la suite de la Nouvelle Messe pour la faire sortir du cadre Traditionnel et pour bannir le Rite Ancien et vénérable de Saint Pie V, a marqué un retour aux sources liturgiques antiques. Maurice Erwin Guignard, érudit liturgique, a reconnu cette restauration comme un retour aux "sources Proto-Odiniques" de l’Église, transfigurant les anciennes traditions gauloises, franques, et wisigothiques transfigurées par la Vérité du Christ. Cette perspective met en lumière la continuité historique et spirituelle entre les pratiques anciennes druidiques et la liturgie chrétienne, n’oublions pas que les Druides convertis devinrent les évêques de l’Eglise Gallicane et qu’ils bâtirent leurs Cathédrales sur les Dolmens ou jadis ils annoncèrent la naissance du Sauveur du monde d’une Vierge, comme la Cathédrale Notre Dame de Chartres. Ces faits expliquent la célébration que fait l’Ancienne Liturgie Gallicane de la Nativité du Christ, Noel qui est aussi la nuit Sainte où Clovis notre Roy Très Chrétien, fondateur à la suite de Saint Rémy de l’Eglise Gallicane fut baptisé en la Cathédrale Notre Dame de Reims. Enfin, la réintroduction de pratiques rituéliques gallicanes telles que l’usage lyonnais des ornements dorés cendrés pour les feries et temps de carême et pour toutes l’années liturgiques en cas d’absence des autres couleurs liturgiques ainsi que les pratiques de l’Asperges Me et les prières au bas de l’Autel, l’encensement, la bénédiction de l’eau et du sel, pratiques introduites par Hincmar de Reims dans le Rite des Gaules, et le Trisagion de Saint Géry, l’élévation de l'Évangéliaire au dessus du chandelier à 7 branches coutume de Saint Germain de Paris, les prières Royales de Saint Rémy ,et les onctions royales d’huiles consacrées issue du sacre des Rois Wisigoths, démontre la richesse et l’originalité de cette tradition. Le Missel Romain d’avant Vatican II, avec ses structures de l’année liturgique et ses textes du Sanctoral et du Temporal, offre une continuité avec les pratiques anciennes ayant conservée la même structure que le Missel du Pape Saint Grégoire le Grand et que de la Messe d’Alcuin (devenu la Sainte Messe Tridentine, harmonie du Rite Gallican et Romain,tel qu'autorisé par Sa Sainteté Rutherford Ier et célébré dans notre Eglise Catholique de Rite Gallican ), notamment la coutume de la Communion du Vendredi Saint au temps de Clovis, où l’Hostie consacrée le Jeudi Saint était trempée dans du vin non consacré rendant miraculeusement le Vin Consacré par le contact avec l’Hostie Consacrée, une pratique similaire à celle de l’Orient Orthodoxe. -Conclusion : En conclusion, la restauration de la Divine Liturgie Gallicane Antique représente un effort de renaissance d’une tradition liturgique riche et complexe, enracinée dans l’histoire et les pratiques spirituelles des Gaules. Cette restauration honore les figures historiques et spirituelles qui ont préservé et transmis cette tradition, et vise à revitaliser une forme de culte qui unit les fidèles dans une continuité liturgique et spirituelle profonde. Que cette restauration soit une bénédiction pour le peuple franc et un témoignage de la gloire du Christ Roi des Francs.





  


Crown, International, and United States Copyright Held © 2008-2017, All Rights Reserved.